La perdi(c)tion de Georges Bataille : essai de psychanalyse

La Perdi(c)tion de Georges BatailleQuelle expérience décerne un Nom propre ? Le risque de donner un nom, déjà évocateur par son patronyme, tient à l'affection longtemps portée par Georges Bataille à des noms... anonymes, qui cachent, car le nom est imprononçable. Quelque visage connu aux yeux bleu acier et au sourire carnassier se cache derrière ces noms ironiques : Pierre Angélique lorsque le roman met en scène « le diable au corps », Lord Auch dénonçant l'être de Dieu et le
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Spécifications techniques

Date de sortie06 octobre 2016
LangueFrançais
ÉditeurSTILUS
CollectionRésonances
Catégories
Nombre de pages247 pages
CompositionContient un seul article
SupportLivre imprimé à couverture souple
Mesure22.0 cm (Hauteur), 14 cm (Largeur), 313 gr (Poids)
Accessibilité  Aucune information disponible concernant l'accessibilité pour le format Papier